Pour la période 1855-1865, la proportion des propriétaires fonciers habitant dans la ville de Valence et ceux résident dans les faubourgs ou dans la huerta péri-urbaine varie considérablement d'une commune à l'autre. Dans l'ensemble elle est plus forte pour les communes proches de Valence et la densité rurale y est plus faible. Elle est donc en général plus importante dans les communes de la deuxième section du canal, plus proches de la ville et irrigués plus tardivement.